Titre : LUSTIG – Le Vendeur de l’Impossible
Format : Long-métrage cinématographique (2h10)
Genre : Thriller historique, illusion psychologique, mystère contemporain
Tonalité : Cinématographique, élégant, entre The Prestige, Le Sixième Sens, Peaky Blinders et Snatch
Il a vendu la Tour Eiffel. Deux fois. Il a volé à Capone, dupé Tesla, escroqué les Romanov, et hypnotisé les banques de Vienne. Mais son plus grand tour n’était pas une arnaque. C’était une prophétie.
Quand Victor Lustig disparaît d’Alcatraz en 1945, le monde croit à une évasion. Mais ce que personne ne sait, c’est qu’il a laissé derrière lui un mécanisme... une illusion vivante. Un siècle plus tard, on comprend : il n’a jamais quitté la scène. Il est peut-être celui qui l’a programmée.
LUSTIG raconte l’histoire de Victor Lustig, l’escroc le plus brillant du XXe siècle, comme une illusion à plusieurs niveaux.
Le film s’ouvre sur Alcatraz. Lustig, vieux et silencieux, contemple une carte postale de la Tour Eiffel. Puis, sans explication, il disparaît.
S’enchaînent alors des scènes éclatantes : la vente de la Tour Eiffel dans un hôtel parisien, la machine à billets à Zurich, le duel avec Al Capone à Chicago, une toile vendue à Raspoutine dans un palais impérial…
Mais derrière ces arnaques spectaculaires se cachent des flashbacks sombres : un enfant formé dans une école secrète, au sein d’une Confrérie d’illusionnistes.
Peu à peu, le spectateur perd ses repères : ralentis, silences, reflets, objets récurrents. Et quand la révélation finale éclate – dans un manoir isolé – tout bascule. Lustig n’a pas fui la justice. Il a fui la mort. Et il a gagné.
Chaque scène est un piège. Chaque regard, un leurre. Chaque vérité… un mensonge bien écrit.
“Le plus grand mensonge de l’Histoire était peut-être une prémonition.”